Les compagnons du mouchoir – Folklore des Mauges

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Pochette arrière

Année : 19??
Label : Kiosque d’Orphée
Référence : KO 800710
Format : LP

Tracklist
Face 1 :
L’angevinica
L’avant-deux
Danse du mouchoir
La trompeuse
La polka des officiers
La Marguerite
La Prascovia
Face 2 :
La guimbarde
La Sagantina
La mazurka du père Faucher
La polka du lapin
La Tsarine
La bonne femme bouchère
La galette
La mouchandaise

Musiciens
Groupe les Compagnons du mouchoir avec :
– Henri Point : basse
– Père Faucher : violon

Prise de son : J. Sourisseau

Le mouchoir rouge de Cholet est l’emblème de la ville, après avoir été un emblème contre-révolutionnaire. Ici, un groupe folklorique, dont le nom rappelle l’époque florissante de cette industrie du mouchoir, propose des morceaux du folklore maugeois. La valeur est plus historique (et sentimentale pour les régionaux) que musicale.

7 thoughts on “Les compagnons du mouchoir – Folklore des Mauges

  1. Heureux de voir ce disque que je possède. Et pour cause, je suis le J. Sourisseau mentionné au dos de la pochette. C’est un document très rare dans lequel j’ai eu le privilège d’enregistrer un des derniers violoneux, le père Faucher, qui animait seul au violon les noces de la région, tout comme le père Brin de Gaubretière. Je suis souviens, étant gosse, à la fin des années 50, nous rendant avec mes parents et tonton Jules, à la Gaubretière, pour apprendre la musique et les pas des danses exécutés par le père Brin qui poussait table et chaises pour faire une piste de danse. Mon père déchiffrait la musique et la transcrivait sur partition en soufflant dans sa clarinette. Tonton Jules, sa femme, ma mère et quelques autres apprenaient les pas en observant le père brin. Le père Faucher a également fait les beaux jours du Puy du fou. Il a joué en direct dans l’émission midi première au côté de Danielle Gilbert.

  2. Les musiciens sans le sous, fabriquaient des violons en se servant de sabots de bois sur lesquels ils tendaient des cordes. Mon père en possédait un, il est toujours dans la famille, ainsi que les partitions originales transcrites à la main.

  3. Merci pour ces commentaires, c’est toujours un plaisir de lire des anecdotes comme celles-ci ! Ça apporte un vrai supplément au blog ! Vous souvenez-vous de l’année à laquelle ça a été enregistré et publié ?

  4. Disque gravé par « le kiosque d’Orphée » sous le n° KO/80.0710, donc enregistré en 1980 à l’école de musique de Cholet située à l’époque rue François Tharreau. Enregistré à l’aide d’une table de mixage FAL et un magnéto à bande Sony. J’ai encore avoir les bandes originales et le magnéto.

    • Bonjour ! Je ne vais pas être d’une grande aide, mais le meilleur espoir serait de retrouver les transcriptions faites par le père de M. Jacky Sourisseau dont il a été question plus haut… en espérant qu’elles existent encore !

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